Anissa s'ennuit de sa famille.

Anissa venait d'arriver dans ce qu'on peut appeler le paradis. Sauf qu'elle a fait ce voyage seul. Sa famille lui manque éperdumment. Sa soeur, elle était si gentille et ses parents qui ont toujours voulus qu'elle devienne connue. C'était son rêve. Elle voulait être connue et fonder une famille plus tard; une famille qui ressemblerait à celle qu'elle avait. Son plus grand rêve était surtout de connaître tous les pays de la carte mondiale par coeur mais bien entendu, c'est un rêve irréalisable. On ne peut tout de même pas lui en vouloir de rêver.

Présentement elle avançait dans ce qu'on peut nommer, un jardin. Un énorme jardin. Elle avait la tête baissé, vêtue d'une jupe blanche et de talons hauts roses avec un haut rose. C'était les vêtements qu'elle portait sur le bateau. Elle continua d'avancer et arriva à une cascade. Cette cascade qu'elle croyait avoir déjà vue. Cette cascade ressemblait étrangement à celle dans la montagne près de chez elle. Elle détachit son collier et grava en arrière du coeur « Je vous aime tous ». Elle signa Anissa et le jeta dans la chute. Vous allez sûrement la trouver folle mais elle est certaine qu'il se rendra dans la chute, près de chez elle.

Elle s'asseya près de la cascade et se mit à pleurer, elle ne reverrait certainement plus jamais ses parents et sa soeur. Plus jamais la terre. Sa vision était si triste et les explications de celle-ci, si vastes.

- Je ne voulais pas mourrir! Maman, désolé d'être tombé.

Komalie arriva une nouvelle fois devant la cascade mais cette fois-ci complètement par hasard. Elle se baladit tranquillement en randonnée, toute seule et finit par arriver une nouvelle fois devant cette sublime cascade où elle s'était baignée il n'y a pas longtemps de cela. C'est alors qu'elle s'apperçut qu'elle n'était pas seule devant cette cascade... en effet il y avait aussi une jeune fille qui semblait mélancolique. Elle avait quelque chose à la main mais Komalie ne saurait dire ce que c'était. Elle jeta cette chose dans la cascade et mit alors bientôt à pleurer en murmurrant dans paroles que Komalie ne pouvait entendre d'ici.
Elle s'approcha alors doucement pour ne pas l'effrayée et lorsqu'elle fut enfin à sa hauteur, elle s'accroupie pret d'elle et posa une main timide et rassurante sur ces épaules avant de lui demander doucement :

- Sa ne va pas ?

Et elle attendit calmement la réponse de la jeune fille qui pleurait toujours ...

[je répond tout à l'heure]

» Anissa D. Wonts